Courbures jusqu’à l’arabesque
Des torsades du vent le voeu
Comme flamboie – mais là burlesque !
Une aube orange vif. – Cheveux
Qu’un soleil vert et bleu éclaire,
Un tourbillon moiré s’émeut
Tantôt sombre, et tantôt clair
Au point qui culmine. – Les yeux
Comme des ciels ennuagés
Surplombent une fraise des bois,
Ou sur une pêche enneigée
Pétale délicat … – Tais-toi.
Publié dans le Florilège Littéraire de l’Académie de Montpellier