Son cœur ancré au creux de ma poitrine
Tambourine en sursauts, se crispe et crisse,
S’étale en soubresauts, déploie sa lice
En mon poitrail prostré qu’il assassine.
Une fois dardée sa bile mutine,
Assis ses vices, déployées ses rixes,
Actée ma paralysie thoracique,
L’Intrus lance l’assaut de mon échine.
Muscles ankylosés où il rumine,
Et toujours, chemine et mine, en coulisses,
M’envahit, parasite subreptice,
Puis se démène en guerres intestines
Laissant Tout
Sclérosé
Névrosé
Nécrosé
Comments are closed.